Révélations du Dr Michael Wolf (1/5)
Au delà du miroir :: PARANORMAL
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Révélations du Dr Michael Wolf (1/5)
Par le Dr Michael Wolf :
La mauvaise santé m'aura empêché de me balader dans le paysage du paranormal, mais ce fut l'année où j'ai commencé à communiquer avec un homme qui m'a permis d'étirer ma conscience jusqu'à ses limites actuelles. Un homme qui a littéralement changé ma perception de ce paysage. Ce fut l'année où j'ai commencé à m'entretenir par téléphone avec ce désormais controversé scientifique, le Dr Michael Wolf-Kruvant, au sujet du camouflage des ovnis et de la réalité des extraterrestres. Ce sont des moments dans ma vie que je ne suis pas prêt d'oublier.
Nous avons tous les deux forgé une relation unique et tout à fait spéciale. Voici un homme qui prétendait avoir servi pendant 25 ans au sein du gouvernement satellite américain, qu'il avait oeuvré auprès de différentes espèces ET dans des bases souterraines comme Dulce et Area 51, et qu'il était à la fine pointe des découvertes clandestines qui devanceraient de quelques centaines d'années nos grands courants scientifiques actuels.
"Je sens que vous voulez savoir la vérité."
Je ne pourrai jamais oublier ces mots d'ouverture, ni la voix grave et le débit langoureux et délibéré de son discours. Je venais à peine de décrocher mon téléphone. Ensuite une pause...
"Ici le docteur Michael Wolf. Mon éditeur m'a fait parvenir votre télécopie."
C'était un soir d'octobre, en 1998. Un ami m'avait parlé de Catchers of Heaven, un livre qu'il me suggérait de lire. Il m'avait procuré également un bref aperçu de son auteur. Stimulé par mes instincts journalistiques, j'ai immédiatement contacté l'éditeur américain Dorrance à savoir comment je pourrais me procurer ce bouquin et même, possiblement, m'entretenir avec le Dr Wolf.
Ainsi s'entamait une relation téléphonique de deux ans. Plus de 30 heures d'entretiens ; une dixaine de bandes audio de conversations enregistrées ; et un compte de téléphone colossal. Ce fut possiblement les mois les plus excitants et les plus exigeants de ma vie.
Je me rappelle la première conversation de 90 minutes et l'insomnie qui en suivit. J'étais beaucoup trop excité pour arriver à m'endormir. Mais je savais, intuitivement, que la démarche de cet homme était authentique. Comme tout journaliste d'investigation, j'avais toujours rêvé de dénicher mon Deep Throat(1) personnel. Je sentais l'avoir trouvé, et m'imaginais ce que Bernstein et Woodward auraient bien pu vivre à l'époque du Watergate.
La confiance et le respect ont pavé la voie au déroulement de notre relation. S'il me disait : "Je ne peux pas aborder ce sujet", je n'insistais pas. S'il me disait : "Posez-moi de nouveau cette question dans quelques mois", j'acquiesçais à sa demande.
Je me suis tôt pris de sympathie pour le docteur et je sentais qu'il me vouait le même sentiment. C'était l'harmonie. Au départ, je lui téléphonais deux fois par mois --je ne voulais pas m'imposer outre mesure-- ensuite une fois par mois, et enfin aux trois mois. J'enregistrais absolument toutes nos conversations, aussi banales qu'elles soient, et les transcrivais à un logiciel de traitement de textes.
En ce qui concerne les ovnis, les informations qu'il me transmit ont posé tout un défi à mon cerveau, car elles étaient autant incroyables que fantastiques. Il m'obligea donc à élargir à grands coups les limites de ma conscience. Je croyais tout savoir sur le cover-up, mais j'ignorais à quel point les rouages de la déception étaient aussi profonds et complexes.
Parfois je me refusais à y croire. Le plus imaginatif des écrivains hollywoodiens saurait-il concevoir un scénario conspirationniste aussi extrême ? À maintes reprises, le doute s'empara de moi, me laissant pour compte et dans l'ombre, jusqu'à ce que je réussisse à assimiler tout ce savoir.
Heureusement, je connaissais d'autres journalistes qui conversaient régulièrement avec Michael. En particulier, un Américain, le Dr Richard Boylan et une Italienne du nom de Paola Harris. Il m'était donc possible de comparer mes notes aux leurs. Je me suis entretenu avec Paola à plusieurs reprises au téléphone. À deux occasions, elle avait visité Michael à son domicile à Hartford, au Connecticut, avant que la maladie ne l'emporte; elle a pris plusieurs photos, a pu prendre connaissance de preuves visuelles y compris une photo de lui en compagnie de Clinton et une lettre signée du Président le remerciant pour tout son travail(2).
[...]
La mauvaise santé m'aura empêché de me balader dans le paysage du paranormal, mais ce fut l'année où j'ai commencé à communiquer avec un homme qui m'a permis d'étirer ma conscience jusqu'à ses limites actuelles. Un homme qui a littéralement changé ma perception de ce paysage. Ce fut l'année où j'ai commencé à m'entretenir par téléphone avec ce désormais controversé scientifique, le Dr Michael Wolf-Kruvant, au sujet du camouflage des ovnis et de la réalité des extraterrestres. Ce sont des moments dans ma vie que je ne suis pas prêt d'oublier.
Nous avons tous les deux forgé une relation unique et tout à fait spéciale. Voici un homme qui prétendait avoir servi pendant 25 ans au sein du gouvernement satellite américain, qu'il avait oeuvré auprès de différentes espèces ET dans des bases souterraines comme Dulce et Area 51, et qu'il était à la fine pointe des découvertes clandestines qui devanceraient de quelques centaines d'années nos grands courants scientifiques actuels.
"Je sens que vous voulez savoir la vérité."
Je ne pourrai jamais oublier ces mots d'ouverture, ni la voix grave et le débit langoureux et délibéré de son discours. Je venais à peine de décrocher mon téléphone. Ensuite une pause...
"Ici le docteur Michael Wolf. Mon éditeur m'a fait parvenir votre télécopie."
C'était un soir d'octobre, en 1998. Un ami m'avait parlé de Catchers of Heaven, un livre qu'il me suggérait de lire. Il m'avait procuré également un bref aperçu de son auteur. Stimulé par mes instincts journalistiques, j'ai immédiatement contacté l'éditeur américain Dorrance à savoir comment je pourrais me procurer ce bouquin et même, possiblement, m'entretenir avec le Dr Wolf.
Ainsi s'entamait une relation téléphonique de deux ans. Plus de 30 heures d'entretiens ; une dixaine de bandes audio de conversations enregistrées ; et un compte de téléphone colossal. Ce fut possiblement les mois les plus excitants et les plus exigeants de ma vie.
Je me rappelle la première conversation de 90 minutes et l'insomnie qui en suivit. J'étais beaucoup trop excité pour arriver à m'endormir. Mais je savais, intuitivement, que la démarche de cet homme était authentique. Comme tout journaliste d'investigation, j'avais toujours rêvé de dénicher mon Deep Throat(1) personnel. Je sentais l'avoir trouvé, et m'imaginais ce que Bernstein et Woodward auraient bien pu vivre à l'époque du Watergate.
La confiance et le respect ont pavé la voie au déroulement de notre relation. S'il me disait : "Je ne peux pas aborder ce sujet", je n'insistais pas. S'il me disait : "Posez-moi de nouveau cette question dans quelques mois", j'acquiesçais à sa demande.
Je me suis tôt pris de sympathie pour le docteur et je sentais qu'il me vouait le même sentiment. C'était l'harmonie. Au départ, je lui téléphonais deux fois par mois --je ne voulais pas m'imposer outre mesure-- ensuite une fois par mois, et enfin aux trois mois. J'enregistrais absolument toutes nos conversations, aussi banales qu'elles soient, et les transcrivais à un logiciel de traitement de textes.
En ce qui concerne les ovnis, les informations qu'il me transmit ont posé tout un défi à mon cerveau, car elles étaient autant incroyables que fantastiques. Il m'obligea donc à élargir à grands coups les limites de ma conscience. Je croyais tout savoir sur le cover-up, mais j'ignorais à quel point les rouages de la déception étaient aussi profonds et complexes.
Parfois je me refusais à y croire. Le plus imaginatif des écrivains hollywoodiens saurait-il concevoir un scénario conspirationniste aussi extrême ? À maintes reprises, le doute s'empara de moi, me laissant pour compte et dans l'ombre, jusqu'à ce que je réussisse à assimiler tout ce savoir.
Heureusement, je connaissais d'autres journalistes qui conversaient régulièrement avec Michael. En particulier, un Américain, le Dr Richard Boylan et une Italienne du nom de Paola Harris. Il m'était donc possible de comparer mes notes aux leurs. Je me suis entretenu avec Paola à plusieurs reprises au téléphone. À deux occasions, elle avait visité Michael à son domicile à Hartford, au Connecticut, avant que la maladie ne l'emporte; elle a pris plusieurs photos, a pu prendre connaissance de preuves visuelles y compris une photo de lui en compagnie de Clinton et une lettre signée du Président le remerciant pour tout son travail(2).
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