Révélations du Dr Michael Wolf (2/5)
Au delà du miroir :: PARANORMAL
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Révélations du Dr Michael Wolf (2/5)
Bien que je ne me sois jamais entretenu avec le docteur Boylan, j'ai souvent visité son site web où sont affichées des informations semblables à celles qui me furent communiquées(3).
Le recherchiste ufologiste canadien Stanton Friedman avait tenté de discréditer Michael, ce qui le perturba, mais comme il m'expliqua : "Il voulait que je devienne l'indice flagrant (smoking gun), mais j'ai réfusé."
Ce commentaire résume assez bien la démarche de Michael. Il répétait constamment : "J'ai prêté serment. Je ne veux pas commettre de trahison. Je ne peux pas tout dévoiler." On pouvait sentir devant soi un homme déchiré entre la loyauté envers ses supérieurs et sa patrie, et un désir humaniste de dire la vérité. Il a sans doute connu d'intenses frustrations.
Je n'avais pas affaire à un deux de pique mais bien à un haut-placé au sein du gouvernement satellite--possiblement le plus haut-placé à s'avancer aussi loin jusqu'à maintenant. Un homme débordant de connaissances.
La recherchiste Linda Moulton-Howe a eu un entretien avec Michael au sujet de l'incident survenu à la base aérienne Holloman en 1964. Elle reçut de lui une réponse tellement complète et explicite qu'elle s'exclama : "C'est trop bon pour être vrai!" Le docteur n'entendit jamais plus parler d'elle.
Un jour, un incident du genre X-Files est survenu, ce qui me permit de mieux comprendre ses réticences. Puisqu'il était à la tête de l'équipe Alphacom du groupe MJ12, un groupe de recherche mis sur pied pour étudier et évaluer les différentes races extraterrestres dans l'univers, j'étais tout naturellement curieux d'en connaître davantage. Un jour, je le questionnai au sujet des habitants de la planète Mars. Comme j'avais lu l'ouvrage de Courtney Brown décrivant ses expériences en visualisations à distance, je voulais savoir si cette race martienne existait vraiment. La réponse fut immédiate et d'un ton d'une telle irascibilité à ne pas en croire ses oreilles. "Il m'est interdit d'aborder ce sujet !"
"Pourquoi ?" lui ai-je demandé, un peu blessé et poussé à l'irrévérence. Ensuite j'ai compris. Toutes les conversations téléphoniques qu'il recevait étaient surveillées de ses supérieurs. On me testait, m'étudiait comme un figurant à la télévision invisible (NDT: I was on candid camera). Si je posais une question à laquelle Michael n'était pas autorisé à répondre, un feu rouge s'allumait. À l'opposé, un feu vert signifiait qu'il pouvait procéder. Je comprenais maintenant pourquoi il se répétait à tout bout de champ...un écran de fumée pour m'empêcher de poser des questions trop sensibles. Il ne fallait surtout pas parler des Martiens !
Michael était un pantin consentant du gouvernement satellite, leur porte-parole pour sonder les terres du monde des "dupes". Le docteur a expliqué qu'il discutait de façon régulière avec ses supérieurs à savoir quels renseignements pouvaient être glissés au public et quels devaient rester secrets. En ce qui concerne le Monolithe (voir plus loin dans cet article), il s'exclama d'un ton acrimonieux : "Ils m'ont sauté dessus avec celle-là ; fallait pas que j'en parle !"
Un triomphe est survenu lorsqu'un jour il me parla des Altares, une race extraterrestre dont la mention ne fut qu'effleurée au tout début de nos entretiens. Au cours d'une période de quatre mois, je l'avais doucement, graduellement, incité à m'offrir plus de détails. D'un ton jovial, cette fois, il déclara: "Je suis surpris de pouvoir vous transmettre ces renseignements." Il me vint à l'idée que le feu rouge était peut-être gelé sur le vert. Jaillit ensuite un flot incessant d'informations que lui et son équipe d'Alphacom avaient recueillies. Je percevais dans sa voix une joie, un soulagement; tel un chien déchaîné gambadant dans les prés. Un soupçon de frustration libéré de sa cellule.
Au cours d'un autre entretien, j'ai voulu m'informer d'un incident impliquant l'écrasement et la récupération d'un engin ET. "Gardez la ligne, je vais vérifier" a-t-il répliqué, et il déposa le récepteur téléphonique. Quelques minutes plus tard, le docteur reprit l'appareil : "J'ai consulté le répertoire. Non, ce n'était pas cette année-là, c'était plutôt l'année suivante." Michael me fit part que dans son coffre-fort se trouvait la liste officielle du gouvernement satellite de tous les engins écrasés/récupérés depuis 1941.
La santé de Michael était toujours un facteur à considérer. Parfois, il se sentait trop malade pour dialoguer. À une occasion, il m'a même semblé paranoïaque. "La Cabale -- ils veulent me tuer !" s'écria-t-il. Son médecin lui avait prescrit un nouveau médicament et son corps avait réagi.
Par contre, en d'autres occasions, il paraissait vigilant et bien reposé, et même tout excité de pouvoir divulguer de nouveaux renseignements. Vers la conclusion de nos rapports, je connaissais un peu mieux sa vie privée. J'ai discuté avec sa charmante fiancée et avais pris connaissance de leurs plans de mariage. Formidable que de voir un homme qui était atteint d'une maladie incurable doter son avenir de projets intéressants.
Notre dernière conversation remonte à la fin de juillet (2000). Il semblait gravement malade et avait beaucoup de difficulté à parler, ne serait-ce que quelques phrases courtes. Je sentais que son heure était proche.
Au mois d'août, Michael fut transporté dans un hospice. Il est décédé le 18 septembre.
Le docteur ne craignait pas la mort. Les extraterrestres auprès de qui il avait oeuvré dans les bases souterraines lui avaient enseigné que nos corps ne sont que les conteneurs de l'âme. "Quand meurent les gens, leur conscience transmue tout simplement vers une autre dimension."
La plus importante leçon qu'il m'ait enseignée c'était de toujours garder l'esprit ouvert, même si les informations qu'on nous présente paraissent absurdes ou extrêmes. Comme le disait Arthur C. Clarke : " La seule façon de découvrir les limites du possible, c'est d'en franchir le seuil vers l'impossible."
Je me sens privilégié d'avoir fait la rencontre du Dr Wolf, un homme unique, courageux et extraordinaire. Et j'espère que les âmes en quête de vérité l'honoreront avec le respect et la gratitude qu'il mérite.
Chris Stonor
Dr Michael Wolf-Kruvant 1941-2000 =>
Il aura fallu 15 ans de persuasions avant que ses supérieurs ne consentent à la publication de son ouvrage. Mais leurs conditions stipulaient que le récit devait relever de la fiction et que trois mentions différentes réfutant son authenticité devaient figurer en préface. Ils ont révisé Catchers of Heaven avant sa sortie. Michael avait commenté : "Sur ma pierre tombale, j'aimerais qu'on y inscrive: Il succomba à la bureaucratie."
(NDT : He died of red tape.)
Bien que certaines déclarations du Dr Wolf semblent issues de la science-fiction, si elles sont véridiques, le docteur serait donc possiblement la plus haute instance du gouvernement satellite à s'être avancée jusqu'ici pour nous offrir un aperçu extraordinaire et stimulant du cover-up des ovnis et de la réalité des extraterrestres.
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Le recherchiste ufologiste canadien Stanton Friedman avait tenté de discréditer Michael, ce qui le perturba, mais comme il m'expliqua : "Il voulait que je devienne l'indice flagrant (smoking gun), mais j'ai réfusé."
Ce commentaire résume assez bien la démarche de Michael. Il répétait constamment : "J'ai prêté serment. Je ne veux pas commettre de trahison. Je ne peux pas tout dévoiler." On pouvait sentir devant soi un homme déchiré entre la loyauté envers ses supérieurs et sa patrie, et un désir humaniste de dire la vérité. Il a sans doute connu d'intenses frustrations.
Je n'avais pas affaire à un deux de pique mais bien à un haut-placé au sein du gouvernement satellite--possiblement le plus haut-placé à s'avancer aussi loin jusqu'à maintenant. Un homme débordant de connaissances.
La recherchiste Linda Moulton-Howe a eu un entretien avec Michael au sujet de l'incident survenu à la base aérienne Holloman en 1964. Elle reçut de lui une réponse tellement complète et explicite qu'elle s'exclama : "C'est trop bon pour être vrai!" Le docteur n'entendit jamais plus parler d'elle.
Un jour, un incident du genre X-Files est survenu, ce qui me permit de mieux comprendre ses réticences. Puisqu'il était à la tête de l'équipe Alphacom du groupe MJ12, un groupe de recherche mis sur pied pour étudier et évaluer les différentes races extraterrestres dans l'univers, j'étais tout naturellement curieux d'en connaître davantage. Un jour, je le questionnai au sujet des habitants de la planète Mars. Comme j'avais lu l'ouvrage de Courtney Brown décrivant ses expériences en visualisations à distance, je voulais savoir si cette race martienne existait vraiment. La réponse fut immédiate et d'un ton d'une telle irascibilité à ne pas en croire ses oreilles. "Il m'est interdit d'aborder ce sujet !"
"Pourquoi ?" lui ai-je demandé, un peu blessé et poussé à l'irrévérence. Ensuite j'ai compris. Toutes les conversations téléphoniques qu'il recevait étaient surveillées de ses supérieurs. On me testait, m'étudiait comme un figurant à la télévision invisible (NDT: I was on candid camera). Si je posais une question à laquelle Michael n'était pas autorisé à répondre, un feu rouge s'allumait. À l'opposé, un feu vert signifiait qu'il pouvait procéder. Je comprenais maintenant pourquoi il se répétait à tout bout de champ...un écran de fumée pour m'empêcher de poser des questions trop sensibles. Il ne fallait surtout pas parler des Martiens !
Michael était un pantin consentant du gouvernement satellite, leur porte-parole pour sonder les terres du monde des "dupes". Le docteur a expliqué qu'il discutait de façon régulière avec ses supérieurs à savoir quels renseignements pouvaient être glissés au public et quels devaient rester secrets. En ce qui concerne le Monolithe (voir plus loin dans cet article), il s'exclama d'un ton acrimonieux : "Ils m'ont sauté dessus avec celle-là ; fallait pas que j'en parle !"
Un triomphe est survenu lorsqu'un jour il me parla des Altares, une race extraterrestre dont la mention ne fut qu'effleurée au tout début de nos entretiens. Au cours d'une période de quatre mois, je l'avais doucement, graduellement, incité à m'offrir plus de détails. D'un ton jovial, cette fois, il déclara: "Je suis surpris de pouvoir vous transmettre ces renseignements." Il me vint à l'idée que le feu rouge était peut-être gelé sur le vert. Jaillit ensuite un flot incessant d'informations que lui et son équipe d'Alphacom avaient recueillies. Je percevais dans sa voix une joie, un soulagement; tel un chien déchaîné gambadant dans les prés. Un soupçon de frustration libéré de sa cellule.
Au cours d'un autre entretien, j'ai voulu m'informer d'un incident impliquant l'écrasement et la récupération d'un engin ET. "Gardez la ligne, je vais vérifier" a-t-il répliqué, et il déposa le récepteur téléphonique. Quelques minutes plus tard, le docteur reprit l'appareil : "J'ai consulté le répertoire. Non, ce n'était pas cette année-là, c'était plutôt l'année suivante." Michael me fit part que dans son coffre-fort se trouvait la liste officielle du gouvernement satellite de tous les engins écrasés/récupérés depuis 1941.
La santé de Michael était toujours un facteur à considérer. Parfois, il se sentait trop malade pour dialoguer. À une occasion, il m'a même semblé paranoïaque. "La Cabale -- ils veulent me tuer !" s'écria-t-il. Son médecin lui avait prescrit un nouveau médicament et son corps avait réagi.
Par contre, en d'autres occasions, il paraissait vigilant et bien reposé, et même tout excité de pouvoir divulguer de nouveaux renseignements. Vers la conclusion de nos rapports, je connaissais un peu mieux sa vie privée. J'ai discuté avec sa charmante fiancée et avais pris connaissance de leurs plans de mariage. Formidable que de voir un homme qui était atteint d'une maladie incurable doter son avenir de projets intéressants.
Notre dernière conversation remonte à la fin de juillet (2000). Il semblait gravement malade et avait beaucoup de difficulté à parler, ne serait-ce que quelques phrases courtes. Je sentais que son heure était proche.
Au mois d'août, Michael fut transporté dans un hospice. Il est décédé le 18 septembre.
Le docteur ne craignait pas la mort. Les extraterrestres auprès de qui il avait oeuvré dans les bases souterraines lui avaient enseigné que nos corps ne sont que les conteneurs de l'âme. "Quand meurent les gens, leur conscience transmue tout simplement vers une autre dimension."
La plus importante leçon qu'il m'ait enseignée c'était de toujours garder l'esprit ouvert, même si les informations qu'on nous présente paraissent absurdes ou extrêmes. Comme le disait Arthur C. Clarke : " La seule façon de découvrir les limites du possible, c'est d'en franchir le seuil vers l'impossible."
Je me sens privilégié d'avoir fait la rencontre du Dr Wolf, un homme unique, courageux et extraordinaire. Et j'espère que les âmes en quête de vérité l'honoreront avec le respect et la gratitude qu'il mérite.
Chris Stonor
Dr Michael Wolf-Kruvant 1941-2000 =>
Il aura fallu 15 ans de persuasions avant que ses supérieurs ne consentent à la publication de son ouvrage. Mais leurs conditions stipulaient que le récit devait relever de la fiction et que trois mentions différentes réfutant son authenticité devaient figurer en préface. Ils ont révisé Catchers of Heaven avant sa sortie. Michael avait commenté : "Sur ma pierre tombale, j'aimerais qu'on y inscrive: Il succomba à la bureaucratie."
(NDT : He died of red tape.)
Bien que certaines déclarations du Dr Wolf semblent issues de la science-fiction, si elles sont véridiques, le docteur serait donc possiblement la plus haute instance du gouvernement satellite à s'être avancée jusqu'ici pour nous offrir un aperçu extraordinaire et stimulant du cover-up des ovnis et de la réalité des extraterrestres.
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